Toucher à votre vulnérabilité, c’est rencontrer votre puissance quel paradoxe !

La société dans laquelle nous vivons fait l’éloge de la force, du pouvoir sous toutes ses formes, nous demande de nous montrer forts, de faire preuve de capacités, de faire face avec brio aux aléas de la vie.

C’est ainsi qu’au fil du temps, nous nous sommes adaptés pour maîtriser, contrôler notre environnement et surtout ne pas faire œuvre de faiblesse.

Certes, il s’agit de ressources nécessaires pour construire notre vie et vivre en société, mais comme pour toute chose, il y a l’envers de la médaille.

Lorsque nous nous identifions de manière unilatérale à tout ce qui démontre notre force, notre pouvoir, nous nous coupons de tout un pan de nous-mêmes, dont nous ignorons même parfois l’existence à force de le refouler ou nous rejouons des scénarios dans nos relations qui nous font souffrir.

Nous sommes coupés en deux, un versant de nous-même acceptable et un autre que nous refusons de voir, ignorons, mal aimons, rejetons, jugeons ou cachons. Nous fonctionnons alors un peu comme un robot, notre cœur est asséché, nous sommes en quelque sorte déshumanisés, coupé de notre élan de vie naturel et de notre créativité.

Nous avons peur de notre vulnérabilité, de nos émotions, de notre sensibilité : peur d’être engloutis et ne pas parvenir à s’en sortir, peur de nous montrer « faible » et qu’autrui prenne avantage de nous, peur que ce soit trop dur pour nous d’aller visiter ces espaces vulnérables, peur d’être jugés, rejetés, d’avoir honte de soi.

Pourtant, nous ne pouvons pas faire l’économie de rencontrer ces états d’être, ces blessures de notre enfant intérieur restées béantes, ignorées, sous peine d’être coupés de notre essence, de notre créativité, de notre unité intérieure.

Lorsque ces blessures n’ont pas été rencontrées, pacifiées, guéries, vous pouvez expérimenter les choses suivantes :

  • Vous attendez d’autrui qu’il comble le manque d’amour que vous éprouvez à votre égard
  • Vous donnez dans l’espoir d’être aimée, inconditionnellement, en retour
  • Vous demandez à l’autre d’être votre béquille, de vous soutenir car seule vous ne parvenez pas à vous tenir debout
  • Vous vous coupez de l’amour car vous ne vous sentez pas digne d’amour, pas aimable
  • Vous êtes hyperactive, votre agenda est surbooké : ainsi vous évitez de vous retrouver face à vous-même et de ressentir ce vide intérieur qui vous effraie
  • Vous vous êtes tellement coupée de vous-même que vous ne savez plus ce que vous ressentez ni quels sont vos besoins.

En acceptant d’accueillir, de vous laisser traverser par votre vulnérabilité, votre sensibilité, vos émotions, vous :

Retrouvez un véritable accord intérieur, permettez à votre terre intérieure de se régénérer, ouvrez votre cœur.

Goûtez à la paix intérieure et la sérénité.

Retrouvez votre élan vital naturel et votre créativité.

Libérées des enfermements de l’autocritique, de vos prises de pouvoir, de la « consommation de l’autre », vos relations sont alors au service d’un véritable amour mutuel, de l’épanouissement et de la croissance de chacun.

La vie est faite de paradoxes :

“En rencontrant votre vulnérabilité, vous accédez naturellement à votre puissance”

Joëlle Radigois

Si vous souhaitez vous mettre en chemin et accéder à votre puissance, je vous invite à réserver l’entretien mise en lumière de 45 minutes que je vous offre.

Au terme de cette rencontre, si vous sentez que je suis la thérapeute qui peut vous accompagner, je vous proposerai un accompagnement personnalisé.

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